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Louise Robin 21 octobre 2024

Des discriminations à l’embauche ? Ça existe vraiment en 2024 ?

Spoiler : oui, malheureusement. On pourrait croire qu’on a fait des progrès, mais entre l’injustice liée au genre, à l’âge ou aux origines, la réalité est encore loin d’être rose. Si vous avez déjà eu l’impression que votre CV parlait de vous… sans vraiment vous représenter, alors vous savez de quoi je parle. Il est temps de changer de méthode ! Alors, petit tour d’horizon des discriminations en 2024. 🙃

Homme vs Femme : et le gagnant est ... toujours le même ?

Messieurs, dames, désolé de vous l’apprendre mais l’inégalité salariale et professionnelle entre les sexes, c’est toujours un gros problème. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en France, les femmes gagnent en moyenne 15,8 % de moins que les hommes. Et non, ce n’est pas parce qu’elles « travaillent moins ». Quand il s’agit de recruter, beaucoup d’employeurs continuent de voir les femmes sous un prisme biaisé : « Et si elle fait un enfant bientôt ? » « Elle va vouloir travailler à temps partiel… » Ces vieux stéréotypes ont la peau dure, mais on espère que ça va changer, et vite ! 💪

Trop jeune ou trop vieux : l’âge, cette barrière invisible mais bien présente

Quand on est jeune, c’est simple : « Pas assez d’expérience ». Quand on a un peu plus de bouteille ? « Trop cher, pas assez flexible ». Bref, vous l’aurez compris, l’âge, c’est une double peine. Les jeunes diplômés peinent à trouver leur premier job (ça vous rappelle quelque chose ?), et de l’autre côté, les candidats plus âgés, pourtant bourrés d’expérience, se retrouvent étiquetés « has been ». Selon une étude de Pôle emploi, 40 % des candidats seniors affirment avoir été discriminés à cause de leur âge. On dit souvent qu’avec l’âge vient la sagesse… sauf apparemment dans le recrutement. 😅

STOP aux étiquettes dans le recrutement

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Origines : un critère qui devrait être transparent, mais qui ne l’est pas toujours

La discrimination liée aux origines est probablement l’une des plus pernicieuses. Un prénom, une adresse, parfois même une photo, peuvent suffire à déclencher des réflexes discriminatoires. Selon le Défenseur des droits, un candidat avec un nom à consonance étrangère a 25 % de chances en moins d’obtenir un entretien par rapport à quelqu’un avec un nom « français de souche ». On aimerait penser que tout ça est derrière nous, mais dans la réalité, la route est encore longue…

Conclusion : #jenesuisPASunCV, l’arme anti-discrimination

Et si on arrêtait de juger un candidat sur ce qui ne devrait pas compter ? Chez #jenesuisPASunCV, on a décidé de jouer la carte de l’anonymat et des compétences. Nos candidats postulent avec un profil anonyme, ce qui permet de garantir une équité totale dans le traitement des candidatures. De plus, toutes nos entreprises partenaires s’engagent fermement à lutter contre les discriminations. Il est temps de donner à chacun une chance, non pas pour ce qu’il est ou d’où il vient, mais pour ce qu’il peut faire. 

Sources : Pôle Emploi Statistics, Jobimpact, France Travail.

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